Témoignages

Elèves

Ecouter les conseil et persévérer

« J’ai passé trois ans à la MFR de Poullan, j’y ai fait ma seconde, ma première et ma terminale (promo 2014-2017). J’ai préféré le circuit des MFR car il nous emmène directement sur le terrain, dans le monde professionnel. Ce n’est pas un circuit classique où on y enchaîne les cours de Septembre à Juin.

De plus, ce qui est vu en dans les cours de pratique, est mis à contribution sur le terrain. Rien n’est perdu. J’ai passé de superbes moments là-bas, avec des formateurs très pros et très présents durant tout le parcours de formation. Ils ont su m’aider dans tous mes choix de stages, de futures études et m'ont aidée à me diriger selon mes compétences. 

Grâce à ces conseils, et la persévérance, j’y ai obtenu mon bac, avec mention. 

Aujourd’hui, je continue mes études dans le domaine agricole, sur un second BAC PRO qui s’intitule CGEA SDE (Conduite et Gestion de L’Entreprise Agricole Système à Dominante Elevage) sur un support équin, toujours en MFR, mais cette fois ci dans le Calvados, pour y introduire les notions apprises en Service A la Personne dans des thérapies équines pour un public en situation de handicap. »

Lauree BOURLEAU

Suivre sa voie sans jamais se dévaloriser

Je suis entrée à la MFR en 2011 en seconde bac pro SAPAT. La MFR était pour moi la bonne solution car à cette époque je n’aimais pas du tout les cours, l’école « classique ». En 2013, j’ai obtenu mon BEPA. J’avais néanmoins toujours des difficultés avec les cours, j’étais plus occupée à cette époque à sortir avec les copains/copines qu’à me préoccuper de mon avenir.

Entre la seconde et la première j’ai pu découvrir, grâce aux stages, nombre de structures et de publics différents (crèche, foyer logement, école maternelle, centre culturel, clinique, foyer de vie pour adultes en situation de handicap mental). A mon entrée en terminale, je me suis reprise en main et me suis mise à travailler, notamment grâce à la motivation que me donnaient les amis avec qui je travaillais pendant les heures d’études. J’avais à l’époque un but précis qui était de devenir éducatrice jeunes enfants. Je n’ai cependant pas effectué mon stage examen auprès des enfants (faute de places disponibles dans les structures) mais en animation auprès des personnes âgées. Ce stage m’a énormément plu et m’a permis de découvrir un milieu dans lequel je me sentais à l’aise.

 
Durant notre année de terminale, nous avons eu plusieurs interventions d’anciens élèves et de stagiaires, venus nous présenter leurs BTS respectifs. Je me tâtais donc à ce moment-là entre le passage du concours d’éducatrice jeunes enfants ou une poursuite d’études en BTS. Une formatrice (Mme Guillou si vous passez par là je vous remercie énormément) m’a aidée à faire mon choix en me poussant vers la voie du BTS. J’ai donc postulé dans plusieurs écoles pour un BTS économie sociale et familiale. A ma grande surprise, j’ai été acceptée dans 4 de ces écoles sous réserve d’obtenir mon bac. Je l’ai obtenu avec une mention assez bien et ai donc pu intégrer l’école de mon choix à Rennes. A ma rentrée 2014 en première année de BTS je doutais tout de même de mes capacités, sachant que je me retrouverais sûrement avec des personnes issues de bac généraux j’avais peur de « ne pas être à la hauteur ». Finalement, nous n’étions que 2 dans ma classe issues de bac santé et social. J’ai très vite remarqué être une des seule connaissant déjà parfaitement (ou presque) des notions tels que les sigles spécifiques au social. Je bénéficiais également d’un esprit très pratique et d’une habitude aux travaux en groupe grâce à cet apprentissage spécifique à la MFR et à ce bac pro. Mon gros point faible était (et est toujours) surtout dans les travaux rédactionnels. Mais je sais que cela n’implique qu’une épreuve au BTS et je travaille à m’améliorer sur ce point. Lors de ma première année j’ai remarqué que mon stage de terminale auprès des personnes âgées me manquait beaucoup.

Lorsque je me suis posée la question du post BTS je me suis donc naturellement dirigée dans cette voie. Aujourd’hui en 2ème année, je vais donc postuler pour l’année prochaine en licence professionnelle intervention sociale spécialité famille, vieillissement et problématiques intergénérationnelles. Je sais donc maintenant qu’il ne faut pas se dévaloriser parce qu’on fait un bac pro en alternance, chacun à ses points faibles et ses points forts, il faut juste réussir à travailler ensemble pour se compléter. J’ai beaucoup tiré profit de tous ce que la MFR m’a apportée, que ce soit relationnellement parlant, au niveau des stages et de l’expérience professionnelle avec laquelle on ressort de cette école, mais aussi des cours et de tout ce que les formateurs peuvent nous apporter au quotidien à la MFR. Car même en étant sortie de l’école, ils sont toujours prêts à nous aider pour des pistes de stage.
 

Je remercie vivement toute l’équipe de la MFR pour ce qu’ils ont pu m’apporter. Et je pousse également tous les élèves à suivre la voie qu’ils souhaitent sans se soucier d’être « moins bons » que les autres.

 

J’espère que mon témoignage aura pu vous aider dans vos choix futurs et aura pu vous montrer qu’il est tout à fait possible de continuer dans des études supérieures « même » avec un bac pro en alternance.

Témoignage Lisa Kéradennec, bac pro sapat session 2011 – 2014

De la volonté avant tout…

 

Je suis arrivée à la MFR de Poullan sur mer, en 2006. J’ai suivi la formation de BEPA Services aux Personnes pendant deux ans mais je n’ai pas réussi mon examen. J’ai alors décidé de redoubler. Mais à l’époque, tout ce que pouvaient dire mes parents et les formateurs n’avait pas de prise sur moi, je ne travaillais pas. Seules les sorties avec les copains et copines m’intéressaient. Alors j’ai échoué encore une fois ! Pendant les vacances scolaires, j’ai travaillé dans les centres de loisirs. Cela me plaisait beaucoup et c’était pour cette raison que je m’étais inscrite à la Maison Familiale. En 2008, j’ai passé le BAFA (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateurs).

 J’ai décidé ensuite d’arrêter l’école. J’avais découvert grâce aux stages les métiers liés au secteur des personnes âgées, et cela m’avait beaucoup plu, voire davantage que le secteur de la petite enfance. En juillet 2009, j’ai postulé à un emploi d’agent à la MAPA de Pont Aven où j’avais effectué un stage. Simultanément, je travaillais les mercredis en centre de loisirs à Riec. A plusieurs reprises, j’ai également travaillé dans l’ostréiculture. J’avais besoin de ces différents postes pour vivre et m’en sortir.

Cela m’a fait prendre conscience que je ne suis pas paresseuse, quand il faut travailler, je me donne à fond. Si j’avais su cela avant (ou si j’avais écouté les adultes…) j’aurais travaillé à l’école car le manque de diplômes me fait cruellement défaut.

J’ai cumulé plusieurs emplois ensuite : en hôpital, en tant qu’agent, dans l’aide à domicile, et actuellement, dans le vente. Mais des soucis de santé m’ont obligé à suspendre mes activités professionnelles.

Aujourd’hui, je vais mieux, je me sens bien dans mon corps, j’ai pris du recul et trouvé ma voie professionnelle. Je travaille dans la vente.

La MFR m’a permis de conforter mon envie de travailler auprès des personnes. Cette formation, très polyvalente, forge le caractère, nous aide à grandir. Si mon témoignage peut vous amener à réaliser que les études sont importantes, j’en serai satisfaite.

Doriane DROAL


Morgane Berriet se familiarise peu à peu avec le fonctionnement de la bibliothèque.


Morgane Berriet, 21 ans, travaille désormais à temps complet à la bibliothèque.
Pendant la période estivale, elle a partagé son temps entre Ti al Leor et les Moulins de Trouguer. Depuis septembre, elle se consacre aux fonctions de bibliothécaire.

Titulaire d'un BEP service à la personne et d'un bac pro SMR (service en milieu rural), obtenus à la Maison familiale de Poullan-sur-Mer, elle a suivi en début d'année une formation auprès de la BDF (Bibliothèque du Finistère).

« Cette formation m'a permis d'apprendre les bases du fonctionnement d'une bibliothèque », dit-elle. « Pour le moment, je cote les livres et les plastifie ». Jusqu'à la fin de l'année, la bibliothèque bénéficiera du passage du Bibliobus. En 2014, le système de prêt sera modifié puisque chaque structure devra se déplacer à Quimper pour choisir 250 ouvrages, quatre fois par an (au lieu des 500 ouvrages prêtés par le Bibliobus tous les semestres). Fin 2013, les adhérents de la bibliothèque clédinoise profiteront aussi d'un prêt supplémentaire de 80 DVD et 300 CD.Ti al Leor proposera le vendredi 11 octobre une journée conte avec Fiona Mac Leod à la salle du patrimoine de la mairie, destinée aux écoles primaires du RPI de Plogoff et de Saint-Joseph de Cléden-Cap-Sizun.

  télégramme  : Cléden Cap Sizun du 23/09/2013
Morgane Berriet se familiarise peu à peu avec le fonctionnement de la bibliothèque.


Lua, 14 ans, 4ème à Projet Professionnel

Peux-tu présenter ta classe et ta formation ?

« J’ai connu la Maison Familiale grâce à une copine dont le frère était inscrit ici. Originaire de Concarneau, je suis actuellement dans une classe de 4ème par alternance. On est actuellement trois élèves de ma classe d’origine à s’être inscrits en même temps. La formation est rythmée par deux semaines de stage et deux semaines d’école. Les deux semaines de stage, c’est bien, ce n’est pas comme dans une école classique où l’on est tout le temps en cours. J’ai des cours généraux, des cours professionnels et des travaux pratiques comme la cuisine qui nous apprennent les règles d’hygiène et de sécurité. Les cours aident aussi pour les stages. Ici, cela me paraît plus simple, je comprends mieux et j’ai une bonne moyenne. Les formateurs aident les élèves en difficulté, ils expliquent individuellement pendant que les autres élèves font autre chose.

Lua présente sa formation à la MFR Poullan29

Nous avons eu des temps forts comme la sortie à l’Ile de Sein, des ateliers en lien avec l’Agenda 21, où l’on cherche à nous faire prendre conscience des choses importantes sur l’environnement, comme le recyclage, le gaspillage, la fabrication de choses par nous-même. Nous avons aussi des animations en veillée, comme la zumba.»

Quel stage poursuis-tu actuellement ?

« Actuellement je suis un stage en restauration au Restaurant le Quais des îles à Concarneau. Mon maître de stage et les employés sont gentils. Ils m’expliquent leur travail, la confection des plats et des menus, les règles d’hygiène. Je pose beaucoup de questions sur ce que je dois faire, mais aussi sur leur parcours professionnel. Aujourd’hui, je suis plus autonome. Bientôt, je dois également travailler en salle, pour voir comment se fait le service auprès des clients.

Ce stage me plaît vraiment, mais je ne sais pas encore vers quel métier me diriger plus tard. C’est pourquoi, je vais également suivre prochainement un stage chez un fleuriste. J’aime également ce domaine, et c’est un métier possible. »

Comment vis-tu l’alternance stage –école ?

« Je trouve que l’alternance est une très bonne chose. Je veux pouvoir choisir un métier, car je vois des gens autour de moi qui sont plus âgés et qui ne savent toujours pas quoi faire. C’est pour cela que je suis venue à la Maison Familiale. Je suis contente de venir à l’école mais je suis également contente de repartir en stage pour découvrir les métiers. 

Au final, je conseillerai cette école, car elle nous fait découvrir le milieu professionnel, et on apprend plus facilement. Pour moi, je dirai que c’est une école donnant-donnant. Si tu es motivé, tu reçois beaucoup d’aide et tu progresses.»

Lua, élève en classe de 4ème  (2012-2013)

Mélissa, 17 ans, CAPA « Services en Milieu Rural »

Pourquoi as-tu choisi de suivre ta formation à la Maison Familiale ?

« J’ai connu la Maison familiale grâce à ma sœur qui a suivi et obtenu un BEPA « Services aux personnes ».   Aujourd’hui, elle travaille à Plouhinec. Au collège, j’avais de grandes difficultés à suivre ma scolarité, notamment dans les matières générales et technologiques. Je me suis alors inscrite en classe de 4ème par alternance à la Maison Familiale. Après la 3ème, je suis aujourd’hui une formation professionnelle CAPA « Services en Milieu Rural ». »

Comment définis-tu l’alternance ?

« Pour moi l’alternance, c’est moitié stage, moitié école. L’alternance permet de découvrir différents métiers. Depuis la 4ème, j’ai suivi des stages très différents en vente (boulangerie, fleuriste, restauration) et dans le domaine des services à la personne auprès des enfants (assistante maternelle) et des personnes âgées (maison de retraite). J’aime aller en stage, car j’aime bouger et ne pas rester en place. Je découvre différentes tâches professionnelles et l’on me confie des responsabilités. Aujourd’hui, je n’aimerai pas retourner dans une école classique où je ne pourrai pas suivre de stages.

A la Maison Familiale, les cours me semblent plus faciles et plus intéressants, surtout les cours de pratiques professionnelles. Le soir, en étude, j’en profite pour revoir mes cours, et je participe parfois aux animations qui sont proposées. La dernière à laquelle j’ai participé était consacrée à la zumba. A la Maison Familiale, on s’occupe un peu des ménages, mais cela ne me dérange pas car j’ai l’habitude. Enfin, je rigole bien à l’Internat avec mes copines. Du coup, la semaine passe assez vite ! »

A ce jour, quel est ton projet professionnel ?

« Ce qui me motive le plus, c’est le contact avec les personnes âgées. J’ai effectué différents stages sur de longues périodes dans différentes maisons de retraite du Cap-Sizun. J’ai participé à de nombreuses tâches, comme l’entretien des locaux, la toilette des personnes, l’aide aux repas, l’animation. Aujourd’hui, je souhaite travailler comme aide-soignante auprès de ces personnes âgées. »

Mélissa, élève en classe de CAPA SMR (2012-2013)

Mégane et Fiona, en Seconde Bac Pro. « Services aux Personnes et aux Territoires»

2 copines ont trouvé leur parcours à la MFR Poullan 29 Ces deux jeunes filles de 18 et 19 ans passionnées de badminton pour l’une, et de danse pour les deux se définissent comme joviales et à fort caractère. Par des copines, et des professeurs, elles ont entendu parler de formations par alternance. C’est sur leur conseil, qu’elles se sont rendues aux Portes ouvertes et se sont inscrites à la Maison Familiale de Poullan.

Mégane, pourquoi as-tu choisi de poursuivre une  formation par alternance ?

 « Des problèmes scolaires et médicaux faisaient que je n’étais pas une très bonne élève. J’ai choisi l’alternance, car les stages permettent d’acquérir plus d’expérience dans le monde du travail. C’est mieux pour plus tard. Après avoir décroché mon CAP « Services en Milieu Rural », j’ai décidé de suivre un Bac. Pro « Services aux Personnes et aux Territoires » pour acquérir encore plus d’expériences professionnelles et de connaissances. »

Et toi Fiona ?

« Originaire de Lorient, j’ai été orientée vers un CAP que j’ai abandonné parce qu’il y avait peu de stages. Ma nouvelle formation me permet de suivre des stages et me permet d’accéder à un diplôme plus élevé. Je poursuis des stages en crèches, en école maternelle. Je suis à l’aise auprès des enfants. J’aime particulièrement m’occuper des soins, de leur bien être, de l’aide aux repas et des animations. Si je souhaite aujourd’hui devenir auxiliaire de puériculture, ma formation me pousse cependant à explorer d’autres pistes professionnelles comme ce stage en hôpital, où je suis en contact avec les personnes atteintes d’Alzheimer. »

Mégane, quel est ton projet professionnel ?

« Depuis mon CAPA, j’ai effectué de nombreux stages aussi bien en vente, qu’en structure hôtelière, en résidence pour personnes âgées, en hôpital, et en école. J’aime être au service des personnes, mais je n’ai pas encore choisi le métier auquel je me destine. J’hésite encore entre aide-soignante et auxiliaire de puériculture. »

Quelle est la place de vos maîtres de stage ?

« Les maîtres de stage font partie intégrante de notre formation. On apprend avec eux sur le terrain. »

Quels sont les points communs des métiers du service aux personnes ?

« Les métiers du service aux personnes sont difficiles physiquement. Par exemple, le dos peut trinquer si on n’a pas les bonnes postures. Ils peuvent être aussi difficiles psychologiquement, comme par exemple, lorsqu’une personne atteinte d’Alzheimer oublie de s’alimenter ou ne reconnaît plus un membre de sa famille. Notre entourage nous répète que nos choix sont courageux, et que tout le monde ne peut exercer ces métiers. Etre au service des personnes, c’est d’abord être à leur écoute et savoir s’occuper d’elles ! Ces métiers sont valorisants et gratifiants. De plus, et logiquement, ce sont des métiers d’avenir, dans lesquels on trouvera toujours du travail. »

Et qu’en est-il de la formation  à la Maison Familiale ?

« La MF est mieux qu’un lycée classique. Les études semblent plus faciles, les formateurs sont à l’écoute et il est plus facile de leur parler. L’ambiance est familiale. L’internat prend logiquement beaucoup de place, puisque l’on est là du lundi au vendredi. A deux par chambre, on peut se parler calmement et se dire les choses. Enfin, on est en confiance avec les surveillantes. On est bien, et au final on se dit qu’on y arrive comme les autres. Moi, je sais que je me suis améliorée au niveau des notes et du comportement. En fait, j’ai eu le déclic et je ne veux plus perdre mon temps. »

Mégane et Fiona, élèves en classe de seconde Bac Pro (2012-2013)

Lisa et Stefen, 20 et 23 ans, Terminale Bac Pro. « Services aux Personnes et aux Territoires»

Pouvez-vous vous présenter ?

« Je m’appelle Lisa, j’ai 20 ans, je suis originaire de Plogonnec et je suis à la maison familiale depuis la 4ème. Après ma 3ème, j’ai obtenu un BEPA, et je suis aujourd’hui en Terminale. Je me revois encore sur ma chaise au collège, en me demandant ce que j’allais faire de ma vie parce que je n’aimais pas l’école. Aujourd’hui, j’ai mon BEP, et je m’apprête à passer mon bac. »

« Moi, je m’appelle Stefen, j’ai 23 ans, je suis originaire de Concarneau. Je fais de la danse bretonne, du théâtre et j’appartiens au cercle celtique de Concarneau Ar Roudoù Glas (où je suis vice-président et chorégraphe) et au bagad de Concarneau. J’étais inscrit en filière Littéraire, mais j’avais des lacunes. Je suis venu à la Maison familiale car, par « le bouche à oreilles », j’avais entendu dire que c’était une bonne école au niveau de la formation professionnelle. Après mon baccalauréat, je pense m’inscrire en BTS Tourisme pour devenir conseiller en séjours touristiques. »

Que mettriez-vous en avant dans votre formation ?

« Si on devait présenter notre formation, on mettrait en avant l’alternance qui est le plus grand avantage car elle permet de voir le coté pratique du métier en mettant de côté la théorie et le bourrage de crâne scolaire. L’apprentissage ne se fait pas en restant assis sur une chaise. Par exemple, la toilette d’une personne âgée, ne s’apprend réellement qu’en pratique.

Les nombreux stages, que nous effectuons, nous rendent autonomes et rapidement opérationnels après une phase d’observation. Cette facilité d’adaptation est par ailleurs remarquée par les maîtres de stage. De plus, les stages permettent de nous faire connaître. Nous avons tout les deux décroché du travail grâce à nos stage, moi en office du tourisme, Lisa, en dans une crêperie.

A la Maison familiale, il n’y a pas de professeur, mais des formateurs qui nous encadrent. Ici, si un élève n’y arrive pas, il est aidé. Certes, les quinzaines sont parfois dures en matière de rythme, mais on s’en sort toujours.  Par exemples, le simple fait de faire sa valise pour la semaine à la Maison Familiale, la vie en collectivité, la recherche de lieux de stages nous responsabilisent, nous font gagner en maturité, et en autonomie. Nous sommes plus à l’aise avec les personnes que nous rencontrons dans la vie professionnelle.»

Et les points négatifs ?

«Pour Stefen, le seul reproche à faire à la Maison familiale, est que l’on est parfois un peu trop couvé, et cela même si l’on est majeur. Par exemple, il nous faut encore l’accord des parents pour sortir. Pour moi, cela fait 6 ans que je suis ici. J’ai vu beaucoup de changements, comme la rénovation des locaux. L’ambiance est familiale. Moi, je serai bien restée si la maison familiale proposait un BTS. »

Quels sont vos projets à l’issue du baccalauréat ?

« Lisa pense travailler avec des personnes en situation de handicap, mais souhaite avant faire des saisons touristiques en Centre de vacances. Cette idée lui est venue grâce aux stages hors région, que nous poursuivons en première et seconde année. Ces stages sont intéressants à plus d’un titre, car ils nous permettent de rencontrer d’autres personnes, de découvrir d’autres façons de vivre et de travailler. Tout cela, à plus de 1000 km de chez nous !

Moi je souhaite poursuivre un BTS, comme je l’ai mentionné plus haut et m’engager dans un Service Volontaire européen. En fait, nous avons peu d’inquiétude pour notre avenir professionnel, car d’anciens maîtres de stage nous sollicitent déjà. »

Les métiers du service à la personne sont-ils selon vous des métiers d’avenir ?

« L’éventail des métiers à la personne est large. Les métiers visent l’aide à la personne sous toutes ses formes. Ils comprennent aussi bien les métiers d’accueil, de tourisme, ou de service. Les structures et entreprises (écoles, crèches, hôpitaux, EHPAD, centre de vacances, etc…) sont nombreuses et différentes, aussi bien dans leur fonctionnement d’équipe, que dans leur organisation. Ce ne sont pas des métiers où l’on devient riche, mais ces métiers « sourient à la vie ».
Qu’entends-tu par là ?

« Ces métiers sont des métiers de patience, d’écoute et d’ouverture d’esprit. Ils visent à redonner confiance aux gens. Ils cherchent à répondre aux besoins des personnes, qu’ils soient vitaux ou non. En ce sens, on n’en aura toujours besoins. »

Lisa et  Stephen, élèves en classe de Term Bac Pro (2012-2013)

Le témoignage d'étudiantes suivant une prepa concours

Se préparer avant l’entrée en école d’infirmière concours

Nous rencontrons, Maëlle, Aurélie et Laurence trois étudiantes en deuxième année à l’FSI de Quimper, qui se sont connues en prépa concours à la Maison Familiale de Poullan sur Mer. Ces trois bonnes copines, solidaires comme l’étaient les mousquetaires d’Alexandre Dumas, sont heureuses de partager leur expérience avec nous.

Pourquoi avoir effectué une prépa concours ?

Aurélie et Laurence, toutes nouvelles titulaires d’un Bac L et d’un Bac SMS venaient de connaitre l’échec à des concours. « Nous manquions totalement d’expérience. La possibilité d’effectuer des stages nous a permis d’être confrontées aux exigences de notre futur métier ».

De son côté, Maelle qui venait d’effectuer un Bac Pro service en milieu rural à la Maison Familiale met en avant la nécessité de travailler son projet professionnel, de réfléchir sur ses motivations et comme elle le dit si bien « Etre clair avec soi même ».

Pour résumé, indiquent-elles, «Une prépa concours comme celle menée à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer rassure, car nous sommes au point pour les concours et le hasard n’a plus beaucoup de place » d’ailleurs, elles ont réussi 9 des 12 concours auxquelles elles ont participés.

Quels ont été les moments forts de votre prépa concours ?

Les trois jeunes filles se regardent en souriant et une à une énumère les situations concrètes partagées lors des interventions avec les  professionnels, mais également à l’occasion des concours blancs ou du tutorat. Elles ajoutent, « Ce n’est pas une prépa scolaire. Les journées sont intensives, mais riches, partagées avec une équipe pédagogique motivée, désireuse de participer activement à notre réussite »

« En effectuant une prépa concours nous gagnons en maturité, nous vérifions, puis nous consolidons  notre projet professionnel ». Sans une prépa c’est difficile de réussir les concours et peut-être encore plus difficile de suivre la formation en IFSI »

En nous quittant, Maëlle, Aurélie et Laurence étaient radieuses d’avoir partagées les bons moments passés à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer qui leurs permettent aujourd’hui de préparer dans de bonnes conditions leur futur métier d’infirmière.


Le témoignage de Julia

Des stages pour reprendre goût aux études

Je m’appelle Julia, j’ai 18 ans, je suis élève en première Bac Pro Services à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer. Passionnée de sport, je joue au Hand ball club du Cap Sizun.

Depuis six mois, j’ai repris goût aux études et je peux m’affirmer grâce aux stages que j’effectue dans le cadre de ma formation par alternance.

Auparavant, j’étais au Lycée en classe de seconde. Malheureusement, je n’arrivais pas à me mobiliser car je n’avais pas de projet professionnel.

Après un stage BAFA (Brevet à la Fonction d’Animateur) duquel j’étais rentrée enchantée, j’ai cherché sur internet une formation dans laquelle je pourrais m’épanouir et développer mes compétences dans l’animation. J’ai « surfé » sur le site de la MFR de Poullan Sur Mer www.mfr-poullan.com et j’ai découvert Bac Pro SMR par alternance. Je me suis alors rendue à la porte ouverte organisée par cet établissement pour mieux connaître le contenu et le fonctionnement de ce baccalauréat par alternance, mais également, faire connaissance avec les encadrants et enfin visiter les locaux.

Depuis septembre c’est une autre vie. Je « m’éclate » en stage et à la Maison Familiale. Ainsi, après avoir découvert et travailler à la piscine d’Esquibien, je suis allée, en stage, à la mairie de cette même commune. Demain je vais poursuivre au service des personnes désorientées, de l’hôpital de Saint Malo, puis j’irai, un mois, en stage anglophone dans un gîte du Sud Est du Pays de Galles.

De plus, j’apprécie, les cours dispensés par des formateurs attentifs, à l’écoute des élèves, toujours prêts à aider ceux et celles qui en ont besoin. J’aime, enfin, l’ambiance de la vie résidentielle.

Julia, élève en classe de 1ère Bac Pro SMR (2010-2011)


Le témoignage d'Angela

Des chevaux aux Services à la Personne où comment construire son projet professionnel

Bonjour, je m’appelle Angéla, j’ai 17 ans et j’habite à Camaret dans ce qui était il y a encore peu la maison de vacances de mes parents.

Je suis élève à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer en BEPA Services Aux Personnes.

élève BEPA SERVICES CROZON

Mon parcours est un peu particulier car je suis née et j’ai vécu jusqu’alors dans la région Parisienne. Je me destinais, du moins je le croyais, à travailler dans le domaine des chevaux. D’ailleurs, j’ai préparé pendant deux ans un CAP de soigneurs équidés dans une Maison Familiale sur Tours.

Malheureusement ou heureusement maintenant, j’ai découvert que mon avenir était limité dans ce secteur. Par contre, il m’a permis de vivre de bons et agréables moments chaque mardi lorsque j’aidais un jeune handicapé à préparer, puis panser son cheval. C’est alors que j’ai pensé poursuivre mes études en préparant une qualification axée dans le domaine du service à la personne. J’ai été confortée dans mon choix lorsque j’ai rencontré une amie, ancienne élève à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer, aujourd’hui salariée  au près de personnes handicapées.

J’apprécie beaucoup les stages et mon temps à la Maison Familiale. Après un stage de quatre semaines au près d’une assistante maternelle je suis allée quatre autres semaines à l’école maternelle Laennec de Cuzon. Actuellement, je découvre un nouveau public en effectuant mon nouveau stage à l’EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) de Camaret. Entre chaque période de stage d’une quinzaine de jours, je retrouve avec beaucoup de plaisir mes camarades à la Maison Familiale avec qui nous échangeons sur nos expériences professionnelles et sur nos vies.

Si au début je ne trouvais pas simple de rejoindre la Maison Familiale, la mise en place d’une ligne de transport pour la rentrée prochaine qui partira de Camaret pour passer par Crozon, Chateaulin, Plonévez Porzay, Locronan avant de rejoindre la Maison Familiale, facilitera beaucoup mes déplacements.

Je projette de devenir ATSEM. Pour cela, je dois, tout d’abord obtenir mon BEP. Ensuite je vais poursuivre en Bac Pro Services.

Angela, élève en classe de BEPA Services aux personnes  (2010-2011)


Le témoignage de Chiara

Chiara 15 ans

Une future animatrice soucieuse du bien être des personnes âgées

Nous sommes heureux de vous présenter Chiara, élève à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer en classe de Troisième par alternance.

Cette jeune fille passionnée de rock et joueuse au hand ball club de Douarnenez depuis six ans a retrouvé la joie de vivre qui semblait l’avoir fuit au collège depuis qu’elle s’est trouvée une véritable passion pour la fonction d’animatrice au près des personnes âgées.

élève BEPA SERVICES DOUARNENEZ

Raconte- nous Chiara ? Que s’est-il passé ?

J’ai quitté le collège pour la Maison Familiale car j’avais besoin de m’affirmer et de m’impliquer dans des activités diversifiées. Je ne pouvais plus rester en permanence en salle de cours, il me fallait un autre système de fonctionnement.

L’alternance stages et temps de formation à la Maison Familiale correspond tout à fait à mes attentes.

Peux- tu nous parler de ton stage actuel ?

Je suis en stage à l’EHPAD de Plogonnec (Etablissement pour personnes Âgées Dépendantes). J’ai choisi ce stage car j’apprécie le contact avec les personnes âgées.  J’ai été très bien accueillie par le personnel, notamment Stéphanie, l’animatrice, ma tutrice tout au long de ce stage.

Grâce à celle-ci j’ai participé à beaucoup d’activités d’animation et appris l’importance de réfléchir aux objectifs recherchés pour choisir l’activité la plus appropriée. Par exemple certains jeux doivent stimuler la mémoire, d’autres, comme la promenade ou de l’activité physique, au travers d’activités ludiques, doivent permettre de préserver le plus possible l’intégrité physique et en même temps le maintien du lien social.

Quels sont les moments que tu préfères ?

J’apprécie les moments privilégiés passés avec les personnes âgées. Dès l’instant où je rencontre les résidents, que je les accompagne aux activités, nous échangeons sur nos vies. Tour à tour nous racontons ce que nous aimons puis nous comparons ma vie de jeune fille de 15 ans avec celle qu’ils ont vécu il y a bien longtemps.

Quels sont tes projets à l’issue de la troisième par alternance ?

Je souhaite poursuivre mes études pour devenir animatrice en gérontologie. Pour cela, dés septembre je vais intégrer, à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer, le Bac Pro en 3 ans «  Services Aux personnes et Aux Territoires » par la seconde professionnelle.

Grâce à l’alternance je vais poursuivre mes stages afin de découvrir des publics et des structures différents, mais également, d’autres régions et peut être même l’étranger.

Aujourd’hui, je suis heureuse. J’ai, d’une part, un projet professionnel. D’autre part, je vais entrer dans une formation particulièrement riche dans son contenu et sa diversité avec une équipe pédagogique désireuse de notre réussite. Enfin, les travaux de rénovation des locaux qui seront terminés pour la rentrée prochaine vont permettre de disposer de conditions de vie et de travail exceptionnelles.

Chiara, élève en classe de 3ème (2010-2011)

Le témoignage de Céline

« La Maison Familiale de Poullan Sur Mer une chance pour moi »

 

Depuis un an domiciliée à Plouhinec, Céline est une jeune Nantaise d’origine, âgée de 15 ans.

Elle est heureuse de nous présenter son parcours scolaire jusqu’à sa venue à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer.

« Mes débuts à l’école ont été difficiles » nous dit Céline. « J’avais des difficultés en lecture, en écriture et en compréhension ». « Cela aurait pu durer encore longtemps sans la réaction de maman qui a décidé de m’inscrire en Maison Familiale ». « Mon frère avait connu une scolarité chaotique et s’était totalement relancé lorsqu’il avait préparé un CAP maintenance des bâtiments collectifs à la Maison Familiale de la Baugerie (44). Par conséquent ce qui avait fonctionné pour mon frère devait également fonctionner pour moi.

J’ai découvert la Maison Familiale lors de la porte ouverte. L’établissement m’a plu, mais j’étais un peu inquiète car l’internat en 4ème 3ème était  obligatoire.

 

Mes angoisses se sont vite estompées. Je me suis très vite fait des camarades et on s’entend bien dans la chambre. Mais plus que tout, j’aime aller en stage. C’est ainsi que je suis allée chez une assistante maternelle pendant quatre semaines, apprendre à m’occuper des bébés  de 2 et 3 mois et des deux enfants de 18 mois à 3 ans.

J’ai effectué des changes, préparé et donné des biberons, participé aux jeux et aidé l’assistante maternelle à la promenade des enfants.

 

Ensuite, je suis allée effectuée un stage dans la vente de chaussures, un autre à la cantine de Notre Dame de Lorette à Plouhinec et un autre auprès d’une ATSEM de cette même école.

 

Depuis que je suis à la Maison Familiale je me sens mieux, mes résultats sont meilleurs et je progresse.

L’année scolaire prochaine je vais poursuivre en 3ème avec pour objectif de poursuivre ma découverte des métiers liés aux enfants, pour envisager par la suite un CAPA SMR ou un bac Pro Services Aux Personnes et Aux Territoires à la Maison familiale de Poullan Sur Mer.

Célione, élève en classe de 4ème (2009-2010)


Le témoignage de Clairvie

L’esthétique ou s’occuper des enfants, mon cœur balance

 

Jeune fille de son temps qui aime faire les magasins, s’habiller et se faire coquette, Clairvie du haut de ses 14 ans veille à son « look » mais également à celui des autres.

Elève à la Maison Familiale de Poullan Sur Mer en classe de quatrième par alternance, elle a accepté de nous expliquer son parcours de formation.

 

Pourquoi et comment es- tu venue à la Maison Familiale ?

« Au collège en classe de 5ème je n’arrivais pas à suivre. Mon professeur principal m’a proposé deux établissements qui, selon lui, seraient, sans doute, plus adaptés pour me remobiliser.

Dans la mesure, où la Maison Familiale était le seul établissement à proposer une formation par alternance, mes parents et moi-même avons fait le choix d’aller le découvrir à l’occasion des portes ouvertes ».

Nous avons été confortés dans notre choix par l’organisation des cours, le fonctionnement général de l’établissement, mais surtout par la possibilité de découvrir des métiers grâce aux stages.

Par contre, en quittant la Maison Familiale quelques petites angoisses subsistaient, allais je me plaire ? Pourrai- je supporter l’internat ?

Quels stages as-tu effectué ?

«A ce jour, j’ai effectué quatre stages différents de quatre semaines chacun. J’ai effectué le premier auprès d’une assistante maternelle dans lequel j’ai apprécié de m’occuper des enfants. J’ai effectué le second dans un magasin de vente de prêt-à-porter féminin et le troisième dans une cantine. J’ai appris à préparer les plats et à aider les enfants de maternelle à manger. Enfin, le quatrième stage s’est déroulé dans un salon d’esthétique où j’ai été très heureuse. Les activités étaient diversifiées. J’ai pu participer à des épilations, assister à un soin complet du visage, mais également, donner un coup de main dans la création d’un mailing et l’entretien journalier du salon ».

Tes inquiétudes sur la vie à la Maison Familiale se sont-elles dissipées ?

«Mes inquiétudes sont totalement dissipées bien au contraire. J’ai rencontré plein de nouveaux camarades. Il y a une bonne ambiance dans la classe et avec les élèves des autres classes.

Mes notes ont fortement progressé, à la grande joie de mes parents.

Je vais poursuivre à la rentrée prochaine en classe de troisième à la Maison Familiale de Poullan Sur mer afin de poursuivre mon approche des métiers de l’enfance et déterminer mon orientation professionnelle.

Clairvie, élève en classe de 4ème (2009-2010)


Le témoignage de Typhène

J’ai choisi la Maison Familiale de Poullan/Mer

pour faire des stages et vivre l’internat

- Je m’appelle Tyfène, j’ai 15 ans ½  et j’habite Plozévet. Je suis venue après ma 5ème à la Maison Familiale de Poullan/Mer car j’avais des difficultés au collège et je m’ennuyais. Mon professeur principal m’a alors suggéré d’intégrer une Maison Familiale en m’expliquant que les stages et les activités pédagogiques proposés me permettraient de m’extérioriser et de valoriser mon potentiel.

 L’idée d’être interne m’a plu, même si nous devons partager la chambre et respecter certaines règles comme l’extinction des lumières et le silence à partir de 22h00.

témoignage Typhène  3eme PLOZEVET

J’apprécie, également, les veillées : soirées dansantes, soirée chocolat, karaoké, jeux extérieurs, sorties diverses qui permettent de passer d’agréables moments avec ses camarades, avec les encadrants et d’apprendre à connaître les élèves des autres classes.

 Grâce à mes deux années à la Maison Familiale (4ème et 3ème), j’ai repris goût à la scolarité, mes notes sont bien meilleures, d’ailleurs, j’ai bon espoir d’obtenir le DNB et je suis prête pour intégrer une seconde professionnelle de commerce.

Typhène, élève en classe de 3ème (2009-2010)

GRACE A MES STAGES, J'AI TROUVE MA VOIE PROFESSIONNELLE

Je m’appelle Jérémy, je suis élève en 3ème à la Maison Familiale de POULLAN sur MER, et je suis passionné par la moto

Après le collège, je suis allé dans un lycée en 4ème avec pour objectifs de découvrir les métiers.

Or, les activités et les cours étaient totalement orientés sur l’horticulture et le paysagisme.

Avec mes parents, nous avons cherché  une autre solution et c’est en échangeant avec des amis que nous avons appris qu’à la Maison Familiale, il était possible d’effectuer des stages dans des domaines professionnels différents.

Au cours de mon année, j’ai effectué quatre stages, un en électricité, deux en mécanique et un en école maternelle.

Ce dernier a été révélateur pour moi, j’ai eu beaucoup d’intérêt et de plaisir à encadrer les enfants :

-         à la garderie, à la cantine, en soutien des ATSEM (Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles), mais également,

-         dans la classe, lors des activités de motricité et de pédagogie, auprès de l’Institutrice.

Pour la rentrée, j’ai choisi d’intégrer le BEPA services aux personnes et de préparer un BAFA, afin de devenir un futur animateur auprès d’enfants.

témoignage Jérémy

Jérémy, élève en classe de 3ème (2009-2010)


 


La MFR de Poullan sur mer est située en Bretagne, au centre du département du Finistère (29), au carrefour des axes Quimper Brest, Quimper Morlaix, Chateaulin Carhaix. Les communes proches sont Douarnenez, Beuzec-Cap-Sizun, Confort-Meilars, Pouldergat, Pont-Croix, Audierne, Plouhinec, Plozevet, Landudec, Mahalon. Nos élèves viennent aussi de Lorient, Pont Scorff, Quimperlé, Concarneau, Fouesnant, Bénodet, Châteaulin, Eliant, Rosporden, Camaret-sur-Mer, Crozon, Locronan, Landrévarzec, Briec, Coray, etc...